145e régiment d'infanterie de ligne

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ziadani
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145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da ziadani »

Scavando nella famiglia paterna, ho trovato quest'altro pro-pro-pro zio arruolato nelle truppe napoleoniche.
Si tratta di Giovanni Andrea Fiore di Giovanni Andrea e Maria Margherita Bertino, nato a Torino, Borgo Dora, il 10 giugno 1793 del quale avevo perso le tracce.

Immagine

https://www.memoiredeshommes.sga.defens ... em_zoom=91

In questo documento francese leggo:

altezza m. 1.55
viso ovale
fronte bassa
occhi ?
naso grosso
bocca grande
mento lungo
capelli ?
sopracciglia ?

Arrivato al Corpo il 22 novembre 1813
coscritto dell'anno 1813

Ultimo domicilio Torino
Dipartimento del Po
professione ?

Il contenuto della terza e della quarta colonna per me è incompressibile

Ultima colonna
Disertato il 14 maggio 1814 (subito dopo l'esilio di Napoleone all'Elba iniziato il 3 maggio 1814).

Mi aiutereste a capire quello che non sono riuscita a tradurre?
Grazie a tutti.

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ginamarquardi
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Re: 145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da ginamarquardi »

in occhi e sopracciglia leggo castani.
forse era pelato perché non capisco neppure io il segno.
Gina - Gino e Giana - Umberto e Amelia - Luigi e Maria 1852 - Angelo e Giovanna 1828 - Luigi Vincenzo e Andrianna 1782 - Daniello Pietro e Santa Catterina 1733 - Pietro Antonio e Rosa 1704 - Joanni Battista e Francesca 1678 - Pietro e Marta 1632 - Joanne e Elisabetta - Danielis e Ursula 1587 -

cannella55
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Re: 145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da cannella55 »

Occhi e sopracciglia castani
Capelli non sembra averne
Segni particolari: una "incisione"o solco

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ziadani
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Re: 145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da ziadani »

ginamarquardi ha scritto:
sabato 8 maggio 2021, 7:56
forse era pelato perché non capisco neppure io il segno.
cannella55 ha scritto:
sabato 8 maggio 2021, 8:11
Capelli non sembra averne
Anche gli altri militari hanno lo stesso segno. Non credo fossero tutti calvi.
Potrebbe essere una specie di "idem" o l'abbreviazione di "le même"?

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ginamarquardi
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Re: 145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da ginamarquardi »

potrebbe, in fin dei conti se ha occhi e sopracciglia castani, lo saranno stati anche i capelli
Gina - Gino e Giana - Umberto e Amelia - Luigi e Maria 1852 - Angelo e Giovanna 1828 - Luigi Vincenzo e Andrianna 1782 - Daniello Pietro e Santa Catterina 1733 - Pietro Antonio e Rosa 1704 - Joanni Battista e Francesca 1678 - Pietro e Marta 1632 - Joanne e Elisabetta - Danielis e Ursula 1587 -

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Re: 145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da Jfk105 »

Ciao, premetto che non so il francese :)
Io nella professione leggo "corrayeux" o "corrayeus".
Su google trovo per il primo termine un libro:
https://books.google.it/books?id=UFWsMw ... edir_esc=y
E traducendo sembrerebbe "scisto" che però è una pietra.
Sempre elucubrando un po' su internet vedo che a Napoli: https://www.vesuviolive.it/ultime-notiz ... %20capelli.
"Parliamo de “‘O Scistajuolo”, venditore di petrolio (detto scisto o cisto), che veniva utilizzato soprattutto per le lampade, sostituendosi all’olio per questa funzione, ma anche per lucidare i pavimenti delle case dei nobili, o addirittura come tintura per capelli."
Quindi forse era un venditore di petrolio
Concordo su occhi castani
Chissà :)
Ciao
J
Io (1968) – Ugo (1937) – Amleto Enrico (1907) – Ugo Luigi (1873) – Giuseppe Antonio (1832) – G.Battista (1796) – Adamo Cesare (1772) – Sante Cesare Melchiorre (1749) – G.Battista (1726) – Cesare (1669) – Giovanni (1630-1633) - Pietro (1600-1616)

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Re: 145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da Jfk105 »

O cavatore? Vedi qui:
https://www.lointainebolivie.fr/pierre/Jan_525/
(PDF) Un Outil Oublié De La Taille De Pierre Olivier
La formation des « Corrayeux » se fait sur place, à la carrière. Le témoignage de M. Pierre Doucet, maitre-carrier à Nozay, est significatif16. Lui-même est fils de carrier, à l’âge de douze ans, après avoir obtenu le certificat d’étude et repris pendant quelque mois la route de l’école, son père le rappelle.

Ciao
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Re: 145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da Jfk105 »

Ho trovato un pdf che parla di "corrayeux": a chi sa il francese...
https://www.academia.edu/8997258/un_out ... _de_pierre
Vedo che sembra proprio un cavatore...
Copio e incollo:

UN OUTIL OUBLIE DE LA TAILLE DE PIERRE :
LE MARTEAU A TAILLER LE SCHISTE METAMORPHISE,
L’EXEMPLE DE NOZAY (44)1
Par Olivier Lavigne
A tous les « corrayeux2
»
Et tout spécialement à Pierre Doucet
Maître carrier à Nozay
Et à tous les amoureux des « satanés cailloux ».
Nozay, avec sa nouvelle appellation de « Pays de la Pierre Bleue », affiche clairement
son enracinement. Mais qu’en est-il exactement du travail des hommes dans cette roche,
travail qui a complètement façonné notre environnement au point qu’il se voit hissé au rang
de référence identitaire ? Nous redécouvrons ce patrimoine, et une première chose nous
surprend : la quantité et la qualité de certains travaux dans une roche souvent réputée comme
« intaillable ».Mais l’outillage utilisé nous surprend encore car le principal outil, la figure
emblématique, le marteau à tailler le schiste est complètement inconnu dans les milieux
professionnels concernés et oublié de la littérature technique.
Nozay, chef-lieu de canton, est situé favorablement au croisement des axes NantesRennes et Laval-St Nazaire. Cette situation a toujours été profitable à la commune, surtout
pour l’exploitation de gisement, tel que les « Pierres Bleues » entre autres. Dès que les
moyens de communication seront suffisamment développés, l’industrie suivra. C’est ce qui
adviendra, dans la seconde moitié du XIXème siècle spécialement avec l’apparition du
chemin de fer.
Mais cela n’induit pas qu’il n’existait pas d’industrie avant le chemin de fer. Si nous
analysons les traces d’outils, abondantes pour presque toutes les époques, nous nous
apercevons qu’il existait une technique première utilisée principalement pendant l’ancien
régime3
. Cette technique appartient au grand ensemble connu de la taille de pierre, pour ne
pas dire classique, et que l’on peut étudier dans de nombreux ouvrages4
. Il est intéressant de
noter qu’à cette époque les tailleurs de pierres sont bien distinct des carriers, appelé « tireurs
de pierres5
». Ces derniers ne travaillent pas avec les mêmes outils que les tailleurs de pierres,

1
L’histoire du façonnage du schiste métamorphisé de Nozay est l’objet de mon doctorat, ce qui explique la
présentation en tant qu’exemple, cela ne veut pas dire que cet outil n’existait pas ailleurs
2 Le terme « Corrayeux » signifie carrier en patois, entretiens vers 1998 avec Pierre Doucet. Ce terme est à
rapprocher de celui de « Perreyeux » l’équivalent pour l’Anjou, Daniel Prigent, « Les techniques d’exploitation
du tuffeau en Anjou », dans, Pierre et métal dans le bâtiment au Moyen-âge, études réunies par Odette Chapelot
et Pierre Benoit, ed. de l’Ecole des Hautes Sciences Sociales, Paris, 1985, p.255.
3 Les derniers témoignages semblent se fixer sous la restauration, les premières décennies du XIXème siècle.
4 Vincent Aladenise, Technologie de la pierre de taille, librairie du compagnonnage, Paris, 1983; Jean-Claude
Bessac, L’outillage traditionnel du tailleur de pierre, de l’antiquité à nos jours, Revue Archéologique de
Narbonnaise, Supplément 14, édition du CNRS, Paris, 1986; Pierre Noel, Technologie de la pierre de taille,
SEBTP, Paris, 1994; entre autres.
5 Nous retrouvons ces appellations dans le recensement de 1799, au moins deux « tireurs de pierres » et un
tailleur de pierre (au moins car l’exploitation d’une telle documentation n’est que partielle pour l’instant),
Chauveau Pierre, 64 ans, Gonel Pierre 43ans, Moineau Jacques 37ans Tous habitants à la ville de Nozay Arch.
munic. 1F2.
et plus spécialement pour les dégrossis pratiqués perpendiculairement aux fils de la pierre. Ils
utilisent une petite « pioche » dont les extrémités sont en méplats6
. Cet outil semble bien être
l’ancêtre de celui que nous étudions ici.
La technique seconde est fondamentalement différente de la première. Les carriers
s’occupent non seulement de l’extraction mais aussi de la production jusqu’au produit fini.
Quasiment toutes les étapes de fabrication seront faites au marteau, sauf évidemment les
opérations à contre-fils qui le seront généralement avec une scie à cadre à dents dévoyées.
L’outil se compose, d’un manche en bois7
qui s’emboite dans l’œil de la partie métallique, et
cette dernière qui possède deux tranchants perpendiculaires au manche et de dimensions
inégales8
. La forme générale du profil est en « chapeau de gendarme9
». Le maniement du
marteau n’est pas une mince affaire (voir fig. 1). L’objet, d’environs 4 à 6 kg10 est tenu avec
la main droite sous la partie métallique afin de mieux guider l’impact, et la gauche au bout du
manche pour contrôler la régularité des coups. La position de travail est face au bloc,
préalablement mis en chantier, la jambe droite en avant et le dos penché11. C’est une position
assez inconfortable12. La difficulté réside dans l’aiguisage13 qui doit être fréquent et dans la
grande longueur du marteau14. En effet, la branche de l’outil facilite le déséquilibrage lors de
coups mal « calés », l’outil exécute alors une rotation incontrôlée due souvent aux veinages de
quartz15
.
La formation des « Corrayeux » se fait sur place, à la carrière. Le témoignage de M.
Pierre Doucet, maitre-carrier à Nozay, est significatif16. Lui-même est fils de carrier, à l’âge
de douze ans, après avoir obtenu le certificat d’étude et repris pendant quelque mois la route
de l’école, son père le rappelle. « Il y a du travail en carrière, il faut que tu vienne ! ». Il s’est
donc exécuté, et commence à travailler toute la journée au marteau. Il commence, « pour se
faire la main » à « blanchir17 » des palis, puis à les déligner18, enfin il attaque des pièces plus
difficiles, auges à cochon plus particulièrement19. Le marteau est polyvalent car il est utilisé
autant pour le dégrossissage que pour les finitions.
Une hypothèse intéressante, est émise par M. Félix Maurice dans son texte sur la pierre
bleue20, pour justifier l’apparition de la technique seconde. Selon lui c’est son aïeul, granitier à

6 Voir Bessac, « l’outillage (…) », op. cit., p.57, fig 15, il le décrit comme un outil à cliver le schiste.
7
Sa section est ronde sauf vers l’œil où le manche devient rectangulaire.
8 Le plus petit côté fait environs deux centimètres de large quand au plus grand il en fait approximativement
quatre. Il existe un exemplaire unique jusqu'à maintenant de marteau à épaulement, non dessiné à ce jour.
9 Ces branches peuvent être asymétriques (voir fig. 2).
10 Cinq kilogrammes semble être la moyenne.
11 Voir Bessac, « l’outillage (…) », op. cit., maniement de la polka p.53 et 54, fig.14. Voir photo
12 Il s’agit d’une position de travail que l’on retrouve avec le maniement de la polka, d’origine romaine, et la
chaouta arabe, Voir Bessac, « L’outillage (…) », op. cit., concernant la polka, p.53-54 et fig.14, la chaouta p.71-
72.
13 L’aiguisage permettait aussi aux ouvriers de « souffler un peu », entretiens avec Pierre Doucet, vers 1998.
14 Il est assez fréquent de voir des outils avec des recharges, soudés à la forge, voir dessin N°
15 La principale raison des accidents du travail dans les carrières est des éclats de quartz dans les yeux, Arch.
Mun. 7F3-4, 1899-1932.
16 Entretiens avec Pierre Doucet, décembre 2004.
17 En taillant la roche, sa couleur s’éclaircie.
18 Tailler les limites réglées des largueurs de dalles.
19 Il faut trois jours pour en faire une, à un ouvrier normal.
20 Voir Félix Maurice, La pierre de Nozay, dactylographiée,s.l.n.d.
Nantes, qui serait à l’origine de cet outillage et de son implantation à Nozay21. Ce qui soulève
la question : d’où tient-il cette technique ? Et pourquoi est-il venu à Nozay et à quelle époque ?
Ce carrier nommé « Maurice » n’est pas complètement inconnu à Nozay car c’est lui qui a fait
le monument de la fontaine de la place au beurre, qui est une représentation hautement
symbolique pour le monde agricole de l’époque.
Mais, pourquoi toujours vouloir attribuer une invention à une seule personne ? Nous
avons supposé la permanence des techniques d’extractions, et la disparition des tailleurs de
pierres. Les « corrayeux » n’ont-ils pas succédé à la fois aux tireurs et tailleurs de pierres ?
N’auraient-il pas imaginé un outillage plus performant et adapté, comme le faisaient à la même
époque leur « clients » paysans ? Dans ce paysage du début du XIXème siècle, tous les
ingrédients sont réunis, des paysans-clients et des forgerons capables d’innover22
.
CONCLUSION
Le marteau à tailler le schiste apparaît lors de changements profonds dans l’artisanat de
la pierre. Les structures, mais aussi les techniques, sont concernés par ces changements. Dans
la technique première, la méthode est identique à celle des principales roches, calcaires, granits
et est étendue sur un espace géographique à la dimension du continent. L’organisation semble
corporative23
. La technique seconde est beaucoup plus adaptée à la roche. Elle émane d’un
ensemble méconnu dont les limites géographiques restent à déterminer. Une partie du matériel,
dont le fameux marteau, semble être une adaptation d’un outil de carrier. Son fonctionnement,
par percussion lancée, le fait entrer dans la grande famille des marteaux à tailler. Mais une
autre partie du matériel semble avoir pour origine les outils du travail du bois, comme les scies
à cadre. Cette adaptation est évidente et nécessaire pour qui désire travailler cette roche avec
ses différents sens comme du bois. Cette technique est donc mixte, elle associe suivant les
faces à travailler, percussion et frottement. Mais quelqu’en soit l’auteur, elle aboutira avec ce
superbe outil à une merveille d’efficacité.

21 Cela justifierait que des outils comme les broches aient des parties actives plates, comme pour le travail du
granit, cependant cette hypothèse n’a pas été contrôlée jusqu'à maintenant surtout que l’auteur déclare qu’il
n’existait plus d’artisanat de la pierre dès la Révolution Française, ce qui est faux.
22Christian Bouvet, Jean-Jacques Chauvel, Jean Franco, Pierre Lefeuvre, Jean-Claude Meuret, « Le Pays de
Chateaubriant : la métallurgie du fer des temps antiques à nos jours », dans, Pays de Châteaubriant, Histoire et
Patrimoine, n°2, 2003, p.4 à 31., René Bourrigaud, « Jules Rieffel à Grand-Jouan (Nozay) : un agronome
pionnier », dans, Pays de Châteaubriant, Histoire et Patrimoine, n° 3, 2004, p.36-45.
23 Nous avons une représentation (XVIème siècle) de Saint Blaise, patron des maçons-tailleur de pierres, dans la
vieille église de Nozay.
Io (1968) – Ugo (1937) – Amleto Enrico (1907) – Ugo Luigi (1873) – Giuseppe Antonio (1832) – G.Battista (1796) – Adamo Cesare (1772) – Sante Cesare Melchiorre (1749) – G.Battista (1726) – Cesare (1669) – Giovanni (1630-1633) - Pietro (1600-1616)

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Re: 145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da cannella55 »

Un intero reggimento di calvi mi sarebbe piaciuto!!!

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Re: 145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da cannella55 »

Non so che cosa significhi l'abbreviazione, però scrive castani sopra, castani sotto e solo per i capelli mette una cosa diversa

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Re: 145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da ziadani »

ziadani ha scritto:
sabato 8 maggio 2021, 7:12
Ultima colonna
Disertato il 14 maggio 1814 (subito dopo l'esilio di Napoleone all'Elba iniziato il 3 maggio 1814).
Cercando in rete ho scoperto che il 145° Reggimento di Fanteria di Linea è stato sciolto il 12 maggio 1814 in virtù di un'ordinanza della stessa data. Quindi non credo che Giovanni Andrea fosse un disertore ma semplicemente un congedato da quel Reggimento. Che fine abbia fatto dopo non si sa, non ancora.

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Re: 145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da tigullio2cv »

come hai fatto la ricerca ? hai spulciato unità per unità, reparto per reparto ...... ?
Non trovo una ricerca per nome o sbaglio ?
Ciao
Franz

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Re: 145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da tigullio2cv »

Trovato! .... Ho chiesto senza verificare ... scusate. :(

rcia
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Re: 145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da rcia »

Buongiorno,
Il registro del tuo soldato é per il periodo 19/03/1814 - 01/07/1814
Se guardo la pagina del tuo soldato N°4100
4099 : disertore 30/06/1814
4100 : disertore 14/05/1814
4101 : disertore 03/05/1814
4101 : disertore 30/04/1814
4101 : congedato 11/05/1814
4101 : congedato 13/05/1814
Questo documento è un documento militare, quindi quando è scritto che il soldato è disertore è disertore. Non è congedato.
Ho fatto delle statistiche su 262 soldati dell'Alta Valle di Susa: 36.6% disertori generalmente tra maggio e giugno 1814. É normale, é la fine dell'impero.
(vedere sul mio sito la parte "Aggiornamento", aggiornamento del 09/12/2020)

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Re: 145e régiment d'infanterie de ligne

Messaggio da ziadani »

Cyrille, grazie per la precisazione. Avevo equivocato.

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